Philosophons un peu ! Mise à jour texte page 1

Bein Ouai Hein !

Modérateurs : Wrath, rouxte, Claude, Benji...tr

Avatar du membre
Benji...tr
Modérateur
Messages : 2391
Enregistré le : mar. août 23, 2005 9:29 pm

Philosophons un peu ! Mise à jour texte page 1

Message par Benji...tr » dim. janv. 15, 2006 12:17 pm

Salut la famille ;-)

Alors voilà, je dois préparer un discours pour le cours de Français. Le thème est : "science sans conscience n'est que ruine de l'âme", Rabelais.
Pourriez-vous réfléchir deux secondes (ou plus :P ) à la question, ce serait trop sympa :wink:

Voici ce que j'ai déjà fait, peut-être que cela vous aidera, il ne manque plus que la conclusion :

« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Voici une phrase d’actualité. Mais avant toute chose, je vais définir les différentes parties constituant cette phrase pour mieux cerner le message.

Rabelais nous propose une éducation de type nouveau prodiguant un savoir universel et total. Pour lui, c’est la variété qui stimule l’appétit de savoir. Son éducation se doit de former aussi bien le corps que l’esprit, les exercices physiques occupent une grande place (« un esprit sain dans un corps sain »). Il met également l’accent sur l’apprentissage des langues anciennes pour ainsi mieux comprendre les textes de la Bible car il faut aimer, servir et craindre Dieu, il faut être croyant. Dieu est le pourvoyeur de morale, d’éthique, Il trace les limites à ne pas dépasser.
L’élève, pour Rabelais, apprendra mieux encore s’il peut d’abord expérimenter lui-même tout en se distrayant. En effet, selon lui, on n’apprend bien qu’en se distrayant.
La conscience pour Rabelais signifie la vérification des savoirs. Les connaissances mathématiques et la culture de l’esprit sont nécessaires pour arriver à une sagesse d’écriture. De même, l’esprit critique est important, conformément au courant humaniste.
La conscience signifie également la mise en pratique des savoirs acquis. Il ne sert à rien d’étudier des théories si on ne peut les utiliser. La science doit s’incliner devant un élément éminent, la pratique. Pour lui donc, le savoir est bien, mais l’intelligence et la morale le sont encore davantage.
Pour nous, la science est un « ensemble cohérent de lois ou de conventions, considérées comme valables jusqu'au moment où de nouvelles découvertes viendraient les infirmer, décrites de manière à ce que tous les chercheurs de ce domaine puissent partager un langage, des expériences et des résultats » . La science recherche donc une explication vraisemblable aux phénomènes chimiques, physiques, biologiques qui nous entourent.
Nous lui devons beaucoup. En effet, sans elle, notre espérance de vie ne serait pas ce qu’elle est à l’heure actuelle, notre confort n’aurait pas atteint ces sommets que l’on connaît aujourd’hui (chauffage, électricité, éclairage, télécommunication, moyens de transport,…).
Pour le mot conscience, il signifie selon le Larousse « la perception, la connaissance plus ou moins claire de notre existence, du monde extérieur. C’est un sentiment intérieur de moralité, du devoir ». Selon moi, la conscience nous permet de qualifier un fait de bien ou de mal, conformément à l’éducation reçue par les parents et par le milieu scolaire. Elle sous-entend une idée de responsabilité, un devoir moral.
" La conscience est l'intuition qu'a l'esprit de ses états et de ses actes " nous dit A. Lalande. Pour Nietzsche « La conscience est au service de la vie. Elle remplit une fonction adaptative ».
Il est difficile de parler conscience, sans parler de morale ou d’éthique.
La morale, selon Le Larousse, signifie l’ « ensemble des règles d’action et des valeurs qui fonctionnent comme normes dans une société ». Elle est, selon Rauh, « la science des fins, la science de l’ordre idéal de la vie » et selon Diderot « la science des lois naturelles ».
L’éthique, selon Encarta : « du grec ethos, coutume, usage, caractère. Principes ou critères d’évaluation de la conduite humaine, parfois appelés mœurs ».

En ce qui concerne la « ruine de l’âme », elle signifie l’anéantissement de l’homme. En effet, l’âme est ce qu’il y a de plus important pour l’individu. Nous ne pouvons pas la détruire, nous devons la conserver, la protéger du danger. Pour arriver à ce but, Rabelais nous dit que la science doit servir l’homme avec, en parallèle, une conscience, une morale, une éthique. C’est d’ailleurs ce que nous disait notre professeur de Religion, « la science doit s’accompagner d’une éthique ». En résumé, la technique doit cohabiter avec l’éthique.

Depuis le siècle des Lumières, la laïcité n’a fait que s’accroître. En effet, les philosophes de cette époque recherchaient la vérité scientifique, ils donnaient la priorité à la raison. La religion était donc délaissée. Pourtant, elle nous offrait une morale. Avec le XVIIIè siècle, cette certaine morale a été écartée. Et depuis le début du XXè siècle, nous avons connu nombre de catastrophes sans précédent causant la mort de millions personnes : Tchernobyl, Hiroshima et Nagasaki, camps de concentration et d’extermination et j’en passe.
Celles-ci sont apparues suite aux progrès scientifiques : le nucléaire, la fabrication de nouveaux gaz, par exemple. La religion jouait donc peut-être un rôle modérateur anciennement, vu que de telles catastrophes, de telles avancées scientifiques n’avaient pas lieu. Il est donc logique de penser que le monde actuel manque de modérateurs, manque de nouvelles limites. Quelques questions s’imposent donc. Le monde manque-t-il de conscience et cette conscience, est-elle obligatoire ?


Tout d’abord, nous devons nous poser la question si l’évolution scientifique est maîtrisée et si non, si elle est la responsable de son manque de contrôle. Car, comme nous le rappelle Jean-François Mattei, Ministre de la Santé, de la Famille et des Personnes Handicapées en France : « En cinquante ans, nous avons davantage progressé dans le domaine des connaissances qu’en cinquante siècles. L’homme est désormais capable, pour la première fois, de détruire la planète qui l’accueille. » La science semble être hors de contrôle. En effet, elle est poussée par le culte de la performance. Aujourd’hui, la recherche de profits et ce désir de vouloir supplanter l’autre dominent. Pour arriver à cette fin, l’homme doit innover. Et pour innover, il doit passer par la science. Par exemple, pour produire plus et mieux, l’ingénieur doit utiliser son savoir scientifique pour créer une machine répondant aux attentes.
La presse nous parle de plus en plus de fécondation in vitro, pilule abortive, insémination artificielle, clonage, expérimentations sur l’embryon humain, eugénisme, nouvelles définitions de la vie et de la mort, dons d’organes, manipulations et thérapies géniques, médecine prédictive, drones, robots, avions super porteurs, voitures de plus en plus puissantes, … Cette énumération de progrès peut nous donner le tournis. Mais si l’on parle de clonage, ou de voitures puissantes, c’est qu’il y a une demande. Je me tourne donc vers l’homme. C’est LUI qui est demandeur de ces innovations technologiques, ce n’est PAS la science qui décide de pousser la recherche dans tel domaine ou telle discipline.
La science n’est donc pas la seule responsable. Les responsables sont, entre autres, la société qui demandent de plus en plus de produits nouveaux, augmentant leur confort, leur luxe et également les politiques. En effet, si la bombe atomique a vu le jour, ce n’est pas suite à un désir d’Einstein ou d’Oppenheimer. Ce sont leurs supérieurs qui leur ont demandé de se pencher sur une arme mettant fin à la guerre avec le Japon. D’ailleurs, « si la science doit bien être au service de l’homme, on ne peut pas considérer l’homme comme un instrument de la science» nous dit Jean-François Mattei. Ce qui signifie que ce n’est pas la science qui agit toute seule, c’est l’homme qui la dirige. De plus, Kant nous le rappelle : " Fais en sorte que ton action considère toujours l’homme comme une fin et jamais comme un moyen ".

Ensuite, vivons-nous dans un monde sans conscience ? Vivons-nous en toute liberté ? Non, nous avons des règles à suivre, des limites à ne pas dépasser. La justice est là pour nous remettre sur le droit chemin, pour nous alerter de notre sortie de route, de notre déviation de trajectoire. Un médecin par exemple ne peut faire ce qu’il veut avec son patient, il doit respecter des règles de déontologie. De plus, dès la réception de son diplôme, il doit prêter le serment d’Hippocrate.
Plusieurs fois déjà, nous avons entendu qu’un médecin était placé entre les mains de la justice car il avait euthanasié une personne, pratique interdite encore à ce jour dans certains pays.
Un enfant qui joue au ballon le long d’une route devrait nous pousser à ralentir et à redoubler de prudence. C’est une conscience du danger. Lors d’un accident, toute personne a l’obligation morale de venir en aide aux personnes malades ou blessées en appelant les secours.
Donc, notre monde vit dans une certaine conscience. Et la science ? En médecine, une éthique est présente. La règle de déontologie médicale nous le montre.
La bioéthique, mot qui s’est vulgarisé aux Etats-Unis dans les années 70 à l’occasion de scandales provoqués par l’expérimentation sur des êtres humains, est censée nous informer sur les conditions pour effectuer ces expérimentations. De plus, certains théologiens (comme Olivier de Dinechin), l’Eglise, l’Organisation mondiale de la santé, le Comité National d’Ethique, certains scientifiques (Ulrich Beck, Albert Jacquard,…) nous remettent toujours en questions, ils font des réflexions.
La science n’agit donc pas à l’écart du monde extérieur, elle est accompagnée, ou plutôt, surveillée par des organismes internationaux, par des hommes.
Concernant le souci du futur, Albert Jacquard nous dit : « pour l’homme, cet avenir inexistant est au cœur de ses préoccupations, il ne pense qu’à ça ». L’homme est donc conscient, il se préoccupe de demain. La science n’est donc pas concentrée que sur le présent, sur l’explication et sur l’innovation. Par moments c’est vrai, il peut lui manquer ce souci de conséquences. Mais l’éthique est là pour cela, la conscience a ce rôle.

De plus, l’homme seul suffit-il à définir sa conscience ? En effet, Jean-Paul II, dans un débat, nous posait deux questions : « La conscience de l’être humain peut-elle à elle seule fournir ou même seulement découvrir la source du bien et du mal ? » Et si l’on répond par la positive, une deuxième question s’imposait : « comment éviter de sombrer dans une éthique de l’authenticité où la sincérité prend le pas sur la vérité ? » A ce sujet, réagissait également Albert Jacquard : « Quelques sages sont chargés de proposer des réponses (…) mais il s’agit de la morale d’un peuple. Nous n’admettons plus comme autrefois de laisser l’Eglise imposer sa règle. C’est aux hommes de décider collectivement du bien et du mal ». Jacquard nous propose une solution : « en quelques décennies, il nous faut mettre au point une démocratie de l’éthique ». Cette démocratie permettrait ainsi de répondre à la deuxième question de Jean-Paul II.
L’homme, donc, peut se prendre en main concernant sa conscience, mais il nous incombe d’instaurer un système qui permette de débattre sur les questions de morales pour que les décisions ne soient pas le fruit de quelques personnes seulement.

Enfin, face à ces débats, l’éducation représente-elle un remède ? C’est un des points les plus importants à développer. En effet, c’est l’éducation qui inculque les valeurs comme le respect des autres, de la nature, de soi, des différences, etc. Albert Jacquard, à ce sujet, nous disait : « pour l’humanité de demain, ces problèmes (d’éthique) vont se multiplier. C’est au système éducatif que reviendra la tâche de préparer les citoyens à définir leur position face à de telles questions ». C’est à nous, futurs acteurs de ce monde, que revient la tâche d’assurer un monde meilleur pour nos descendants. Et c’est par l’éducation que cet objectif sera rempli. De la conscience peut naître un avenir radieux pour l'humanité.





Qu'en pensez-vous ? Merci d'avance :-)
Modifié en dernier par Benji...tr le mar. févr. 14, 2006 9:33 pm, modifié 2 fois.

Avatar du membre
dycast
Messages : 2210
Enregistré le : mer. août 24, 2005 1:03 pm

Message par dycast » dim. janv. 15, 2006 12:42 pm

moi a 17 ans j' attaquais la coco ,ça arrachait plus que le chichon :lol:
(a prendre au second degrès,hein,lol)
Image

Avatar du membre
TypeR
-
Messages : 2713
Enregistré le : lun. août 29, 2005 2:39 pm
Numéro d'ITR : 0
Localisation : 01

Message par TypeR » dim. janv. 15, 2006 1:02 pm

dycast a écrit :moi a 17 ans j' attaquais la coco ,ça arrachait plus que le chichon :lol:
(a prendre au second degrès,hein,lol)
J'ai mal à la tete de mon WE bien chargé ( à prendre au 1er DEGRE ) et la Benji tu m'acheve, je retourne me coucher, bon courage mon petit... :wink:
ITR #4592

Avatar du membre
le tcho
Messages : 1615
Enregistré le : sam. août 27, 2005 11:16 am
Numéro d'ITR : 0
Localisation : medoc (33)

Message par le tcho » dim. janv. 15, 2006 1:06 pm

perso j'ai arrété l'école a 17 ans ... parceque çà m'a jamais passionné et en plus les profs étaient méchant avec moi :cry1: :lol:

donc j'avoue j'ai méme pas tout lu,çà me fait tourné la téte mais pourtant hier je suis pas sortis donc j'ai rien bu :lol:

ps: tu es profésseur ?

Avatar du membre
TypeR
-
Messages : 2713
Enregistré le : lun. août 29, 2005 2:39 pm
Numéro d'ITR : 0
Localisation : 01

Message par TypeR » dim. janv. 15, 2006 1:07 pm

le tcho a écrit :perso j'ai arrété l'école a 17 ans ... parceque çà m'a jamais passionné et en plus les profs étaient méchant avec moi :cry1: :lol:

donc j'avoue j'ai méme pas tout lu,çà me fait tourné la téte mais pourtant hier je suis pas sortis donc j'ai rien bu :lol:

ps: tu es profésseur ?
C'est sur , tes prof etait mechant donc tu t'es vengé sur les INTEGRA....
Barbare :evil:
ITR #4592

Avatar du membre
le tcho
Messages : 1615
Enregistré le : sam. août 27, 2005 11:16 am
Numéro d'ITR : 0
Localisation : medoc (33)

Message par le tcho » dim. janv. 15, 2006 1:10 pm

LOL

nooooooooooooooooooooooon tu imagines méme pas comment je m'en veux d'avoir cartonné mon itr :oops:

Avatar du membre
TypeR
-
Messages : 2713
Enregistré le : lun. août 29, 2005 2:39 pm
Numéro d'ITR : 0
Localisation : 01

Message par TypeR » dim. janv. 15, 2006 1:12 pm

le tcho a écrit :LOL

nooooooooooooooooooooooon tu imagines méme pas comment je m'en veux d'avoir cartonné mon itr :oops:
Je compatie :anniv2:
ITR #4592

Avatar du membre
dycast
Messages : 2210
Enregistré le : mer. août 24, 2005 1:03 pm

Message par dycast » dim. janv. 15, 2006 1:14 pm

c' est comme le cul ,si tu jouis trop vite ,tu te plante et ta gonzesse fini dans le garage du voisin et tu peut plus monter dans le bacquet,ça c'est de la philo,hein tcho :lol:
Image

Avatar du membre
TypeR
-
Messages : 2713
Enregistré le : lun. août 29, 2005 2:39 pm
Numéro d'ITR : 0
Localisation : 01

Message par TypeR » dim. janv. 15, 2006 1:17 pm

dycast a écrit :c' est comme le cul ,si tu jouis trop vite ,tu te plante et ta gonzesse fini dans le garage du voisin et tu peut plus monter dans le bacquet,ça c'est de la philo,hein tcho :lol:
MMMMOOOOOOOTTHHHHHHEERRRRRRR FUCKERRRRRRRRRR :?:

Ca aussi c'est de la filo
ITR #4592

Avatar du membre
Benji...tr
Modérateur
Messages : 2391
Enregistré le : mar. août 23, 2005 9:29 pm

Message par Benji...tr » dim. janv. 15, 2006 1:23 pm

le tcho a écrit :perso j'ai arrété l'école a 17 ans ... parceque çà m'a jamais passionné et en plus les profs étaient méchant avec moi :cry1: :lol:

donc j'avoue j'ai méme pas tout lu,çà me fait tourné la téte mais pourtant hier je suis pas sortis donc j'ai rien bu :lol:

ps: tu es profésseur ?
Non non, je ne suis qu'élève :(

Je vous remercie quand même :cry:

Avatar du membre
bernardo
Messages : 1382
Enregistré le : mer. août 24, 2005 6:25 pm
Numéro d'ITR : 0
Localisation : Thionville (57)

Message par bernardo » dim. janv. 15, 2006 1:25 pm

quand j'etait en teminal, j'avais eu ce sujet en philo.
je peux te dire ma note, je m'en souviens tres bien : 9/20.
remarque, c'est pas difficile, je n'ai eu que des 9 tout au long de l'année, meme au bac.
j'aurais bien voulu t'aider, mais c'etait en 97, et depuis, j'ai fait un reset de mon cerveau :lol:

Avatar du membre
le tcho
Messages : 1615
Enregistré le : sam. août 27, 2005 11:16 am
Numéro d'ITR : 0
Localisation : medoc (33)

Message par le tcho » dim. janv. 15, 2006 1:28 pm

dycast a écrit :c' est comme le cul ,si tu jouis trop vite ,tu te plante et ta gonzesse fini dans le garage du voisin et tu peut plus monter dans le bacquet,ça c'est de la philo,hein tcho :lol:
:mdr3:

là j'en peux plus je rigole comme malade tout seul devant mon pc :lol:

vive la philo selon dycast :lol:

Avatar du membre
dycast
Messages : 2210
Enregistré le : mer. août 24, 2005 1:03 pm

Message par dycast » dim. janv. 15, 2006 2:00 pm

bernardo a écrit : depuis, j'ai fait un reset de mon cerveau :lol:
oui ,mais le code erreur est encore là :lol: Image.............aller.....glisse :lol:
[mode:farceur:on:]
Image

Avatar du membre
dycast
Messages : 2210
Enregistré le : mer. août 24, 2005 1:03 pm

Message par dycast » dim. janv. 15, 2006 2:02 pm

le tcho a écrit :
dycast a écrit :c' est comme le cul ,si tu jouis trop vite ,tu te plante et ta gonzesse fini dans le garage du voisin et tu peut plus monter dans le bacquet,ça c'est de la philo,hein tcho :lol:
:mdr3:

là j'en peux plus je rigole comme malade tout seul devant mon pc :lol:

vive la philo selon dycast :lol:
on sent qu'il y a du vécu :lol: :sex1:
Image

Avatar du membre
Ryuji
Messages : 670
Enregistré le : mar. août 30, 2005 9:08 pm
Numéro d'ITR : 0
Localisation : Bergerac

Message par Ryuji » dim. janv. 15, 2006 2:11 pm

Au bac, j'ai eu 6/20 en philo (et encore je les soupsonne de m'avoir pistonné),
c'est dire que je peux pas trop t'aider...

ps : c'était un BAC D donc la philo je m'en foutais un peu lol.

Répondre